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Un suicide

VIP-Blog de suicid
  • 6 articles publiés
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  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 12/10/2006 05:32
    Modifié : 20/10/2006 15:17

    Fille (28 ans)
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    ..

    12/10/2006 05:34



    Si je crée cet article ce n'est ni pour me faire prendre en pitié, ni pour me faire cracher au visage.

    Depuis quelque temps, j'ai beaucoup réfléchie. Je n'en peux plus.
    J'ai fait toutes sortes de chose pour me changer les idées mais rien à faire.
    J'ai souris mais rien à faire.
    J'ai pleurer mais rien à faire.
    J'ai crier mais rien à faire.
    J'ai fait des conneries mais rien à faire.
    J'ai cherché de l'aide mais rien à faire.

    On ne veut pas m'aider ...

    On m'a même dit récemment que le coeur avait toujours raison. Alors si le coeur a raison, c'est que ce soir, j'ai raison. Raison de tenter de fuir d'ici. La douleur est trop forte, insupportable. Après trois mois, je devrais pourtant aller mieux. Personne ne trouve ça logique que sa fasse toujours aussi mal et ils ont bien raison. Personne ne peut comprendre car personne ne sait. Personne ne sait que je suis vivante seulement à l'extérieur, seulement en apparence, mais que tout au fond de moi, je suis morte depuis trois mois.

    Tous ses faux sourires, ses fausses joies, je n'en peux plus. Je ne peux plus jouer le jeu du "je m'en fou". Non, c'est assez. J'ai mal, je pleures, je cris, et les gens en rient. Personne ne me prend au sérieux. Mais j'ai mal même si personne ne me comprend. Moi je le sais.

    Aujourd'hui, j'avais rendez-vous chez le notaire. J'ai mis à jour mon testament. À ma mort, mes proches n'auront aucun problème à cause de moi car tout est réglé, j'y ai passé toutes mes économies. Mes assurances-vies ont été vérifiées donc mes proches auront l'argent nécessaire pour leur continuité. Ces assurances me coûtes plus cher étant donné que je ne voulais aucune close en petits caractères telle l'annulation de l'assurance s'il subvenait un suicide.

    J'ai tâché de ne rien oublier et j'espère sincèrement que c'est le cas. J'ai aussi écrit une lettre à chacune des personnes qui comptes pour moi leur expliquant mon choix. Il est réfléchi, je ne doute pas du tout. Il y a d'ailleurs même deux personnes que je n'ai connu que virtuellement qui recevront un couriel de "ma" part quand le temps sera venu. Tout est écrit et prévu au testament et il y a aussi une copie de ses lettres sur la table de la cuisine. Nous savons tous que les règlements de testament peuvent parfois être long donc en laissant cette copie de chaques lettres fera en sorte que les gens n'attendront pas trop longtemps avant de comprendre.

    J'ai aimé trop fort et je n'arrive pas à oublier. J'ai pourtant essayé du mieux que je pouvais. Pourquoi personne ne m'a pris au sérieux quand je disais que ça n'allait pas? Je n'aurai jamais la réponse à cette question. Personne ne connaîtra ce blog, je me devais seulement d'écrire pour vous dire ceci; si un jour une personne vous dit qu'elle a du mal, prenez-la au sérieux car avec le temps, ça peut aller plus loin qu'une douleur.

    J'ai pris la décision de mettre fin à mes jours. Ce n'est pas une décision que l'on prend à la légère. Ce n'est pas une décision que l'on prend sans essayer avant de se sortir de ce mood. Je suis consciente de ce que je m'apprête à faire et c'est mon choix. Je veux mourir pour oublier enfin. Je ne vois pas une autre façon d'oublier.

    J'aspire que le monde suivant soit meilleur pour moi que celui-ci bien qu'au fond, nous n'en sachions rien. Je veux prendre cette chance.

    Je vais bien ce soir, je suis paisible.
    À vingt-trois heures et trente minutes, je prendrai ceci:
    32 clindamycine 300mg
    10 ketorolac 10mg
    30 norvasc 5mg
    120 ibuprofène 200mg
    120 acétaminophène 500mg
    Ainsi que 125 mcg de flovent

    Je serai, après une demi-heure, complètement dans les vappes et fin prête pour minuit. À minuit je trancherai ma première veine. Grâce aux médicaments peut-être aurais-je la chance de partir sans douleur, sans souvenirs.

    Il me reste moins d'une heure pour tout préparer, je veux un endroit paisible, sombre, et musical. Je ne veux rien tacher. Je préparerai tout en conséquence. Ma plus belle robe, mon plus beau maquillage, comme si j'allais me présenter sur la scène d'une grande pièce de théatre. Vous savez, comme dans les films.

    Ma vie n'aura pas été un rêve, mais j'ai la possibilité que ma mort le soit alors pourquoi pas.

    À minuit ce soir, j'espère que j'aurai réussi.

    Si par malheur sa ne tourne pas comme je le voudrais, je vous en ferai part même si, sans doute, comme mon entourage, vous vous en fichez éperduement.

    Bien à vous.







    ...

    13/10/2006 01:46



    Je suis encore là. Ne pouvant écrire davantage pour le moment.

    J'ai regarder rapidement vos commentaires mais je viens seulement d'entré chez moi alors je n'ai pas eu le temps encore de bien lire. 

    Minuit pour moi c'était hier, pas aujourd'hui, mais c'est sans doute le décallage horaire.

    Je reviendrai tout-à-l'heure expliquer ce qui c'est passé ...







    ....

    13/10/2006 05:33



    Ce qui c'est passé ...

    J'ai publié cet article où j'expliquais ma façon de faire.  De quelle façon je désirais partir.  La beautée que cette mort aurait pu être en comparaison à cette vie maudite.  Au moment de l'écriture de cet article, je me sentais bien, voire même revivre en pensant enfin que mes tourments disparaîtrait une bonne fois pour toute.  J'étais paisible à l'idée d'être tout simplement bien.

    Je n'aurais pas cru recevoir de commentaire étant donné que je ne suis pas rester connecté, j'ai publié et immédiatement fermé.  Je ne croyais pas que l'on pouvait voir les blogs lorsqu'ils n'étaient pas "enligne".  J'ai écrit pour moi-même tout simplement alors oui, je suis étonné de ces commentaires que je viens de lire.  Mais en vérité, dois-je admettre qu'ils me font chaud au coeur.  Bien que venant de gens qui me sont entièrement inconnu.  Merci pour ces doux mots que j'ai lus à plusieurs reprises.

    Le déroulement ...

    Immédiatement après avoir posté l'article, je me suis dirigée au salon.  Là où, sur la table, les médicaments étaient disposés en ordre.  J'ai fermé la lumière et allumé la chandelle qui se trouve au centre de la table.  Je devais faire un peu plus rapidement que ce que j'avais convenu étant donné que j'avais quelques minutes de retard sur l'horaire prévu.

    J'aurais pu prendre les médicaments avec de l'alcool mais mon but n'étant pas de me rendre malade, j'ai préférée ne pas en prendre.  Donc, avalant les médicaments un à un avec un verre d'eau, je tâchais de ne plus réfléchir. 

    J'avais insérée plusieurs de mes chansons favorites dans média players. La majorité de ces chansons me rappellent toujours un souvenir précis.  Alors ça ne pris pas beaucoup de temps avant que je verse des larmes en repensant à tout ça ...

    Ça été plus long que prévu avant d'avoir terminé de tout prendre ces médicaments.  J'ai pris le dernier vers minuit et quart.  Mais je ne voulais pas m'arrêter à ces quelques minutes de retard.  Un léger mal de coeur a suivi la prise de ces trucs mais je n'en ai pas fait de cas.  Après tout, dans ma tête, je n'aurais pas ce mal très longtemps et il n'équivalait en rien la douleur qui se trouve à l'intérieur de moi.

    J'ai donc remis la suite du déroulement à minuit trente.

    Il me restait une quinzaine de minute pour me préparer.  Je me suis alors dirigée à la chambre pour m'habiller convenablement, suivant mon plan à la lettre.  C'est donc vêtue d'une longue robe noir simple mais sans manche et d'un nylon filet noir que je suis sortie de la chambre pour me dirigé vers la salle de bain. À cette endroit ce trouvais les "bijoux" que je désirais porter ainsi que mon maquillage. 
    J'ai alors mis mes deux bracelets, mon colliers ainsi que mes boucles d'oreilles, puis je me suis maquillé un peu plus qu'à l'habitude, dans un style "gothique théatral".  J'étais prête, convenable, regardable, comme je l'avais souhaitée.

    Au milieu du salon, j'avais étendu un sac de plastique que j'avais ouvert en grandeur, puis un oreillé était au bout de ce sac.  L'oreillé était aussi dans un sac, pour ne rien tâcher.  Je me suis étendu sur le dos, sanglotant de tout mon âme.  Prenant par le fait même, le couteau qui était installé sur la table juste à côté.  J'ai fermé les yeux et respirer à plusieurs reprises à pleins poumons.  Mes mains tremblaient au rythme de mes battements de coeur qui étaient accélérés comme jamais.

    Le sang ne me fait pas peur, au contraire.  J'ai toujours eu cette passion du sang.  Mais là, ce n'était pas la même chose.  C'était pour une raison précise que je m'apprêtais à trancher ma peau. 

    Je ne regardais pas l'heure, laissant simplement mes yeux fermés en essayant de respirer.  J'y arrivais à peine.  Était-ce les médicaments qui fesait que je respirais très mal.  Possible.  De ma main droite, j'ai fait glisser la lame du couteau sur la peau de mon poignet gauche, doucement, avec pression.  Je n'ai pas ouvert mes yeux pour regarder le sang couler.  Des images envahissaient mon esprit.  La trahison, l'hypocrisie, le mensonge, la douleur.

    J'ai ensuite pris le couteau dans ma main gauche, sa fesait mal terrible.  Mais il était hors de question que je reviennes sur mes pas.  Je serrais le couteau très fort dans ma main, comme pour me faire encore plus mal, je ne sais pas pourquoi.  j'ai alors déposé la lame du couteau sur mon poignet droit puis je l'ai fait glisser dans le même rythme que le précédent.  Tremblante et sanglotante.

    J'aurais pu couper mon cou, il parait que ça fonctionne mieux.  Mais je trouvais que cette image laissé à mes proches seraient trop désagréable donc je ne voulais pas ça.  J'ai ouvert les yeux un moment pour m'allumer une cigarette.  en mettant le cendrier juste à côté de moi, pour y laisser la cigarette.  Je ne voulais pas que tout passe au feu si jamais je partais rapidement.

    J'écoutais la musique et je la chantonnais, la voix tremblante mais décidé, comme un chant d'adieu à moi-même, restant toujours couchée sur le dos pour ne pas détruire la "scène" que j'avais préparé.  Pour ne faire aucun mouvement du bas du corps pour ne pas déplacer ma robe.

    Je ressentais mes larmes s'écouler sur le côté de mon visage.  Je suis restés longtemps étendu ainsi, attendant que la fin arrive. Mais elle n'arrivait pas.  C'était beaucoup plus long que je l'avais prévu.

    Malheureusement, le temps était trop long.  Beaucoup trop long.  Je me suis mise à réfléchir malgré le sang qui s'égouttait de mon corps.  Réfléchir, la chose à ne pas faire dans ces cas-là.  Je ne fesais plus que sanglotter, je pleurais toutes les larmes de mon corps.  J'ai pris panique.  J'ai commencer à avoir réellement peur.

    J'ai été vraiment stupide de réagir de la sorte.  J'étais pourtant prête alors pourquoi avoir paniquer.  Pourquoi est-ce que ça a été si long.  Les médicaments n'étaient pas assez fort?  Les coupures n'étaient pas assez profondes?  Je devrai prendre le temps de me renseigner subtilement pour ne pas amener de soupçons.

    Je suis alors venue à l'ordinateur pour écrire à  une personne, pour qui je croyais encore, un peu, compter. En vain.  Ça m'a pris une heure pour lui écrire un court texte.  Pour lui dire ce que je venais de faire et lui dire que j'étais terrorisée.  Je n'ai pas écrit grand chose car j'en était incapable, j'avais très chaud et la tête me tournait. 

    J'ai tacher une partie de mon clavier et de ma robe à cause de cette connerie d'avoir bougé.  Mais j'étais entièrement paniquer et je n'arrivais plus à respirer.  J'ai appeler info-santé pour savoir si je devais me faire vomir mais je ne leur ai pas dit que je m'étais coupée.  Puis rapidement j'ai raccroché.  Ils m'ont spécifié que ce n'était pas bon de se faire vomir dans ces cas-là.  Et bien moi j'aurais cru le contraire.

    J'ai raccroché car ils commençaient à trop me poser de question et puis, je me suis rendue compte que j'étais entrain de tout gâcher.  Ce que j'avais fait était prévue, pourquoi ne pas simplement garder courage et terminer ce que j'avais commencer.  Je partirais sans doute de toute manière étant donné l'état dans lequel je me trouvais.

    Je suis donc aller chercher un linge dans l'armoire pour essuyer un peu de dégât puis je me suis recouchée sur le sac.  Plaçant à nouveau ma robe et mes cheveux.  J'ai repris le couteau pour tenter de creuser un peu plus dans les fentes que j'avais créé.  Curieusement, cette fois, ça ne fesait pas mal.  Était-je trop engourdie?  Que de question je me pose ce soir ...

    Je crois que j'ai fini par m'endormir.  Je n'en suis pas certaine.  Il y a eu un vacarme d'enfer et ma porte a été défoncé.  Je n'y comprenait plus rien.  Je ne savais même plus ce qui se passait.

    Je vais écrire la suite dans un autre article, car il me semble que c'est un peu trop long.





    .....

    13/10/2006 06:29



    Ce qui c'est passé ...

    Je ne me souviens pas de la suite mais je peux écrire ce que l'on m'a expliqué.

    Je me suis réveillée en fin d'avant-midi, à l'hôpital.  On m'a expliqué que mon appel à info-santé avait été transféré aux policiers.  Et qu'une ambulance était venu me chercher.  Que c'était pour cette raison que j'étais à cette endroit.  J'ai du obligatoirement rencontrer un psychiatre et un psychologue pour raconter mon histoire.  Non mais quoi encore!

    J'ai chercher de l'aide durant trois mois et tout-à-coup, ils sont là.  Non merci, je n'en veux plus.  Surtout qu'ils ont pris la peine de me spécifier que je devrai voir un psychologue régulièrement mais que ça ne serait pas eux car eux, ils ne sont qu'en urgence.

    Voyons!

    Je ne suis pas pour raconter ma vie à quelqu'un qui s'en fiche éperduement et qu'en plus, il prend la peine de me dire que ça ne sert à rien.  Je sais que lors de mon arrivée à l'hôpital, ils m'ont fait un lavage d'estomac ou quelque chose du genre et que j'ai un petit point de suture sur chaque poignet c'est tout.

    Après plusieurs heures, j'ai décidée de partir de là-bas.  Ils ne voulaient pas me laisser partir mais je ne leurs ai pas donné le choix.  J'ai du signer des papiers disant que je partais de mon gré et qu'ils n'étaient pas responsable, etc etc etc.

    Enfin bref, j'ai encore tout gâchée.  Pourtant il me semblait que tout était bien préparé.  Il a fallu que je panique !

    C'est trop stupide.

    Ma vie est banale, sans doute pas mieux ni pire qu'une autre, les problèmes ne se compare pas.  Mais moi, j'en ai marre.  Trop marre de ce vide en moi.  Il m'a tué, je voudrais que l'extérieur le soit aussi.

    J'ai raté bêtement.  Je ne me suis sans doute pas assez renseignée sur la rapidité des effets.  Je n'ai pas moins mal ce soir.  Ça ne change rien à ce que je pense, j'ai juste un peu plus peur des conséquences.

    De plus, j'ai maintenant une porte à payer à mon proprio et de la famille sur la tête à me dire que c'était trop con et que je n'ai aucune raison d'agir ainsi,  c'est la joie !!

    Alors voilà ce qu'il en ait.  Merci pour vos commentaires et merci pour le vidéo, je ne connaissais pas mais j'adore.

    Bien à vous.







    ......

    14/10/2006 02:52



    Soirée assez difficile en perspective alors pourquoi ne pas venir écrire ici un peu pour me changer les idées.

    Tant qu'à broyer du noir ...
    Dans cette mer de désespoir ...
    Qui m'entoure sans le vouloir ...
    Et qui m'empêche de voir ...
    Les infimes beautées du soir ...

    Je repense sans cesse à cette nuit où j'ai tout foiré.  Elle tourne dans ma tête tel un disque à répétition.  Je regarde mes bras ainsi affligés par la lame de mon ultime espoir.  Et tout ça pourquoi?  Pour rien.  J'ai tout ratée.  Mes plans ont tombés à l'eau.  Sinon je ne serais pas ici en ce moment.

    Sous l'oeil de l'ange

    J'aime vraiment cette chanson.  Je l'écoute en boucle. Merci beaucoup.

    Suis-je heureuse ou malheureuse que ça n'est pas fonctionné?

    Malheureuse!  J'étais prête à partir.  C'était véritablement ce que je voulais.  C'est véritablement ce que je désire.  C'est le seul moyen que je peux entrevoir pour mettre mon cerveau à "off".  Pour ne plus penser, pour ne plus réfléchir.  Alors sans aucune hésitation, ça me fait chier d'avoir ratée.

    Pourquoi je souffre?

    Je ne pourrais tout raconter car je sais très bien que je serais jugée.  Je sais très bien que je me ferais dire qu'il n'y a rien là et qu'il y a pire dans la vie.   Mais tout ça, je le sais!  Il y a pire que moi et je n'en doute pas une seule seconde.  Mais à chacun ses malheurs sans comparaison.

    Je n'en peux plus de mon boulot, il me prend tout mon énergie.  J'ai peine à respirer pour moi-même donc de perdre tout mon énergie pour quelqu'un d'autre c'est trop difficile.  J'en arrache.  Et je ne PEUX PAS changer de boulot.  C'est très très peu payant mais je ne suis pas une personne qui aime l'argent.  J'en veux pour survivre tout simplement alors ce n'est pas une chose qui me dérange.  Mais émotionnellement c'est difficile.  Je ne peux pas changer de boulot sinon je m'en voudrais.

    Je suis une personne avec des principes et sans doute trop prise par ceux-ci.  Je déteste au plus haut point le mensonge et l'hypocrisie.  En fait, ça me rend malade.  Vaut mieux une vérité qui fait mal qu'un mensonge car tout mensonge fini par se savoir un jour où l'autre et là, la douleur est encore pire.

    Ces deux dernières années, ont m' a fait vivre dans le mensonges, l'hypocrisie et la trahison.  Ça fait mal et ça fait peur.  Vous croyez à ce monde dit virtuel?  Moi j'y croyais.  Sincèrement, j'y croyais.  Ça fait une dizaine d'années que je me promène sur le net et depuis environ huit ans j'y croyais.  Si moi j'étais sincère sans doute que d'autres l'étaient aussi, malgré l'écran qui sépare les gens.  Mais le mensonge semble aussi très facile.  Trop facile pour certains ...

    Je suis amoureuse, amoureuse d'une personne jalouse.  D'une personne possessive.  Mais je l'aime et je n'y peux rien.  La jalousie et la possession ne me dérange en rien.  Surprenant? Peut-être.  Mais ça ne me dérange pas du tout car, parmis mes principes, il y a celui qui me dit de ne jamais faire des gestes qui pourrait blesser l'être que l'ont aime.  Donc si je dois couper les ponts avec tout le monde, je le fais.  L'amour ne se vit pas plusieurs fois dans une vie.  Alors faut le vivre à fond.  Par contre, un autre de mes principes est celui qui dit qu'il ne faut pas faire à l'autre, ce que nous ne voulons pas nous faire faire.  Et bien voilà, cet homme que j'aime fesait tout ce qu'il ne voulait pas que je fasse.  C'est une chose avec laquelle j'ai beaucoup de difficulté.  J'ai dû mettre un terme à notre relation car s'il n'y a pas de partage et de compréhension, ça n'avance à rien.

    Je suis aussi, avec lui, devenue jalouse avec le temps.  À force d'être cachée, à force de supposé coïncidences, à force de n'avoir droit à aucune preuve.  Oui j'ai été jalouse moi aussi et ça me rendais malade de l'être.  Je préfère être avec une personne jalouse plutôt que de l'être moi-même.  Une preuve, c'est tout ce que je voulais, mais non, il me gardait cachée loin de tout et tout le monde.  Ça fait mal de sentir que l'on a honte de nous.  La jalousie part d'un endroit et je sais que c'est partie de là, car auparavent je n'avais jamais été jalouse, JAMAIS.

    Ça fait trois mois que j'ai mis un terme à cette relation, mais, qu'y-a-t-il de plus difficile que de laisser une personne que l'on aime?  Mes sentiments sont sans doute partagé entre l'amour et la haine.  C'est à cette personne que j'ai écrit le soir où j'ai paniqué.  C'est à cette personne que j'aurais eu besoin de parler à ce moment.  Mais il ne m'a jamais écrit.  Même encore aujourd'hui, je suis restée sans nouvelle.  C'est sans doute mieux ainsi.   Je n'aurais pas dû lui écrire.

    Peu importe, je n'en peux plus de cette douleur d'une "peine d'amour".  Mon boulot me gruge tout mon énergie.  J'ai peur de tout à cause des trahisons qui se sont affligées contre moi ces deux dernières années.  Bordel !  Il n'y a plus personne qui est capable de dire la vérité ?  Tout le monde ce sent obligé de mentir ?   Ça donne quoi alors ?

    Au cours des derniers mois, j'ai même eu recours à un Maître rekis, elle a su me détendre par moment.  Mais maintenant, elle me demande de changer.  Il y a toujours quelques choses pour me changer.  Je suis une personne sombre et alors?  Je n'ai jamais eu envie de mettre fin à mes jours pour autant.  Là je ne vais pas bien, aucun rapport avec ma façon de m'habiller ! ni avec le fait que je préfère la nuit au jour !

    Je ne raconte pas tout car les jugements j'en ai marre.

    Je suis au bout du roulot, totalement. 

    Je voudrais ne plus aimer, ne plus penser, ne plus pleurer.

    Je voudrais tout simplement ne plus exister.

    Bien à vous.

    P.S.  J'ai l'intention de recommencer mais cette fois en étant mieux informé.  Mais j'attend que les plaies déjà créé soit guéries sinon ça enlève à la beautée.  Si ce n'était que pour me plaindre comme le dise mes proches, je n'aurais rien fait l'autre nuit. Logique !








    .......

    20/10/2006 15:17



    Le comble de tout ....

    En fin de semaine dernière, je suis partie sur une galère.  Terrible!  Il y avait pleins de gens autour de moi mais je me sentais vraiment seule.  Y a-t-il véritablement quelque chose de pire qu'une solitude bien entouré?  Pour ne plus penser, et sachant que je désirais me donner du temps pour que tout soit fait à la perfection, je me suis arrangée autrement pour ne me souvenir de rien. 

    Sa a bien fonctionnée, je dois l'avouer.  Mais le mal de tête après cette fin de semaine.  "c'était ouf"


    J'ai appri une "bonne" nouvelle aussi en fin de semaine.  Ce qui m'a permis de me saouler la gueule sans me le faire reprocher car tout le monde fêtais.  Mon petit frère va être papa dans les prochains mois.  Et je suis l'heureuse élue pour être la maraine.   Heureuse élue?

    Je devrais pourtant être hyper contente pour eux.  Un petit bébé dans la famille serait supposé me réjouir.  Mais sa me fait mal!  Je n'oserais jamais le dire car sa paraîtrait trop égoïste de ma part.  Ça l'est sans doute d'ailleurs.

    Je ne peux pas avoir d'enfant alors oui, je les envie.  D'un sens je suis contente pour eux mais de l'autre, cette nouvelle m'a jeter par terre.  Mon petit frère va être papa.

    Ma mère m'a dit qu'elle était déçue, dans le sens qu'elle espérait que ça soit moi qui aurait un petit en premier. (elle n'est pas au courant de ma stérilité, sa lui aurait fait trop de peine).  Alors moi, hypocritement de lui répondre, voyons c'est l'fun que sa soit moi ou mon frère c'est happy!

    Sachant que mon frère et sa copine me veulent obligatoirement comme maraine, ils pensaient que sa m'empêcherait de mettre mes plans à exécution.   J'ai plutôt été ouvrir un compte de banque à cette efffet et y ai mis presque toutes mes économies.  Sa sera mon cadeau de bienvenu pour le petit ou la petite.

    Je suis contente pour eux d'un sens c'est sur mais .....

    Sa me fait mal et je n'ai personne à qui en parler sans paraître égoïste .....

    Bref, je n'écrirai plus d'article dans ce blog avant d'être prête à passer au deuxième essai, merci à vous pour vos commentaires et à sans doute, bientôt.

    Bien à vous








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